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Refaire le Monde

Derniers commentaires
3 juillet 2012

Merci d'être venu jusqu'ici, visiteur égaré ou

frise_orange

   

    

 

 

 

 

Merci d'être venu jusqu'ici,

visiteur égaré ou déjà accro...

 

Sur ce mien blog règne

un joyeux foutoir,

agrémenté de quelques gourmandises,

 

d'infos diverses, d'humour,

de petites histoires légères,

 

de râlages (parce que ça fait du bien)

et de zénitude...

et en plus ô joie suprême,

il y a même l'heure !

Je vous encourage à réagir aux articles

- que vous les ayez aimés ou non -

en lâchant vos coms...

    

    

 

frise_orange

 

                     

   

   

   

 

Clinton_et_Eltsine

 

 

      

      Parce qu'il suffit parfois d'un rien pour s'entendre...

 

 

 

                        

         

                        

 

 

 

 

Barri_re_de_corail

 

 

 

                                       

         

                      

 

                              

               

 

 

 

  

Nethique.info

   

Arrête de tourner la roulette, t'es en bas là !!!

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2 juillet 2012

Des souris au Quick de Belleville


Un passant a filmé ces souris à travers la vitrine du Quick de la rue de Belleville (Paris XXe) alors que le fast-food était fermé.
 
On y voit des souris gambader en toute quiétude dans l'établissement. Elles sont par terre mais les souris ça grimpe partout, y compris dans les bacs de frites, sur les plans de travail, etc.
 
Bonjour l'hygiène et la sécurité. Si vous êtes malade en sortant de là, ne vous demandez pas pourquoi.
 
Quick, plus que jamais, c'est le dégoût !!!

 
 

souris au Quick de Belleville

11 juin 2012

Des élèves malades de l’école, d’Evelyne Tschirart : les conséquences médicales de la méthode globale dénoncées

 

Professeur à la retraite depuis plusieurs années et membre des associations « Reconstruire l’école » et « Sauver les lettres », Evelyne Tschirhart qui avait déjà publié en 2004 « L’école de la dérive » vient de publier « Des élèves malades de l’école », un petit ouvrage édifiant sur les désastreux effets des méthodes de lecture non syllabiques et leurs conséquences. Tirant la sonnette d’alarme, elle y dénonce l’inquiétante expansion de ce que l’on a coutume de nommer à tort la dyslexie.

L’abandon depuis de nombreuses années de la méthode syllabique, qui avait pourtant fait merveille sur des générations entières de bambins, fait partie d’un vaste plan de rééducation réfutant toute notion de rythme et de compétence personnels dans l’apprentissage des savoirs. Si l’on admet volontiers que les tout-petits doivent progresser à leur propre rythme, dès l’entrée à l’école tous doivent rentrer dans le rang égalitaire en voyant niées leurs aptitudes ou leurs faiblesses respectives. Certains sont moins véloces que d’autres ou ont plus de difficultés à appréhender les savoirs ? Qu’à cela ne tienne, retardons les plus précoces ! C’est cela le principe d’égalité prôné par l’Educ Nat, c’est-à-dire l’exact contraire du traitement juste, et au nom de ce principe égalitaire on supprime le système de notation et la motivation à progresser. Finies les récompenses ou les encouragements jugés trop stigmatisants pour les moins bons élèves.

L’auteur s’émeut de la faillite de l’école gratuite telle qu’elle nécessite le recours à une scolarité parallèle payante pour y remédier mais, plus grave encore, condamne les parents à consulter un personnel médical reconverti en enseignants contraints de réapprendre les bases de la lecture à des enfants passés au mixeur d’une Education Nationale dévoyée, totalement incompétente à remplir le rôle qui lui avait toujours été dédié et fabriquant à l’échelle nationale des générations d’incultes et d’illettrés destinés à devenir des futurs moutons à tondre.

Toutes les tentatives de réformes ont échoué par le refus d’une confrérie enseignante mise en face de ses propres lacunes, incapable de se remettre en question et d’accepter le nivellement par le haut auquel elle ne peut elle-même prétendre, incapable de faire passer l’avenir de millions d’enfants avant le respect du programme édicté en haut lieu et variant au gré des changements ministériels. Quant aux syndicats gonflés de pouvoir et peu désireux de renoncer à leurs privilèges, ils font pression sur le corps enseignant en les poussant à la désobéissance et à la mutinerie dès qu’un ministre prétend donner un coup de pied dans la fourmilière.

L’Education Nationale est une grosse machine à broyer des gosses « mal comprenants » parce que « mal apprenants » comme on dit aujourd’hui. Tout le monde a conscience du désastre mais puisque ce désastre est total le plus commode est de le faire perdurer. Que les enfants soient en souffrance, qu’on les condamne à fréquenter les cabinets médicaux et à prendre des médicaments semble n’émouvoir personne, ni le personnel enseignant ni les syndicats.

Alors pour éviter de réformer la parade a été toute trouvée : on prétend que les enfants souffrent de dyslexie, de dysphasie ou encore de dyscalculie ! Il suffisait d’y penser. Or, l’instituteur étant encore pour beaucoup de parents le garant du savoir et le référent adulte dans leur propre passé d’élève, il ne leur viendrait pas à l’idée de contester cette sentence un peu honteuse touchant à la chair de leur chair appréhendée comme une déficience intellectuelle qu’il est urgent de soigner, d’autant que parfois le diagnostic s’accompagne de menaces en cas de refus d’envoyer son gamin consulter.

Nous ne sommes plus dans l’éducation – terme déjà impropre qui s’était déjà substitué à celui plus juste d’instruction – mais dans la rééducation de masse. Votre enfant est considéré comme un malade à soigner afin d’éviter d’avoir à reconnaître la déficience de tout un système. En réalité votre enfant va très bien, il est parfaitement normal.

Outre l’infamie et la perversité de ce vaste mensonge organisé et ses effets désastreux sur la confiance en soi d’un être en devenir s’ajoute également un coût financier non négligeable sur notre système de santé et qui fait la fortune des laboratoires pharmaceutiques et des médecins qui se frottent les mains de voir venir à eux vos enfants générateurs de juteux profits. En clair, l’onde de choc de la calamiteuse méthode semi-globale a en réalité des répercussions gigantesques.

Car pour pallier ces fausses maladies dont seraient atteints vos chérubins on leur prescrit des consultations chez des thérapeutes divers ou en CHU ainsi que des psychotropes tels que la Ritaline – nécessaire sésame pour l’obtention de la prise en charge financière du parcours thérapeutique malgré les risques de suicides que sa prise peut provoquer – pour calmer leur hyperactivité, « maladie » très tendance opportunément découverte il y a quelques années pour cataloguer des enfants sainement toniques auprès de parents justement demandeurs de tranquillité. Les choses n’arrivent finalement pas tout-à-fait par hasard…

Le filon est tellement porteur qu’il faut parfois attendre plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous chez le médecin. La batterie de spécialistes va ensuite tout reprendre depuis la base afin d’apprendre à lire à votre petit en utilisant la méthode syllabique dont l’école continue de nier l’évidente nécessité. C’est donc une entreprise de destruction massive et pour cela tous les moyens sont bons.

Evelyne Tschirhart dénonce avec vigueur l’arsenal médical palliatif employé pour contrecarrer et masquer les graves manquements et dysfonctionnements de l’appareil enseignant. Mais l’incompétence de l’Education Nationale n’empêche cependant pas ses petits soldats de faire régulièrement grève pour demander toujours plus d’argent, toujours plus de postes, avec l’aide appuyée des parents d’élèves à tendance bobos qui crient haro sur le capitalisme tout en réclamant toujours plus de fric quand le problème est ailleurs.

L’auteur nous narre le cas de la petite Pauline incapable de recopier ses devoirs faute de parvenir à  déchiffrer les mots notés au tableau sans que sa maîtresse ne s’en émeuve. A défaut de recadrer celle-ci pour qu’elle abandonne son inopérante méthode mixte, ce fut la petite que l’on soigna. Pauline eut donc droit à une psychologue scolaire, une assistante sociale et une orthophoniste qu’elle a vue durant cinq années, le tout grassement payé par les bons soins de la collectivité (oui, c’est vous qui avez payé une première fois pour l’école et une seconde fois pour les frais résultant de l’incompétences de l’école). Quant aux parents de l’enfant ils ont même été soupçonnés de maltraitance en raison de ses angoisses qu’il était naturellement exclus d’imputer au corps enseignant puisque jamais l’institution et la maîtresse de Pauline n’ont été remises en cause, malgré les dégâts psychologiques consécutifs à cette maltraitance caractérisée. Et le cas de Pauline n’est qu’un exemple parmi des milliers d’autres dont peut-être votre propre enfant.

Orthophoniste, voilà donc un vrai métier d’avenir…

Si la médecine est devenue le nouveau terreau éducatif, le mérite quant à lui n’est plus qu’un gros mot auquel on préfère les concepts d’égalité et de discrimination positive, ou plus exactement de nivellement par le bas généralisé afin de ne pas stigmatiser ceux qui apprennent moins rapidement. Autrefois il existait des classes de même niveau dans lesquelles les élèves étaient intégrés selon leurs facultés et leur rapidité à apprendre pour ne pénaliser personne, ainsi les moins véloces soumis au même programme pouvaient apprendre à un rythme adapté pour eux sans nuire à ceux qui apprenaient plus rapidement, et le programme était bouclé pour tout le monde en fin d’année. L’idéologie égalitariste à tout crin a remplacé ce fonctionnement qui marchait sans doute trop bien pour lui préférer un mixage préjudiciable à tous, quitte à dégouter de l’école ceux qui n’y trouvent plus d’émulation et d’encouragement à progresser, et ceux qui ont l’outrecuidance par leurs aptitudes naturelles de se trouver sur le haut du panier.

Car l’être humain est ainsi fait que nous n’évoluons pas tous au même rythme ni avec les mêmes capacités intellectuelles. Refuser de considérer ce paramètre en nous mettant tous artificiellement ex-æquo comme à l’Ecole des Fans ne peut mener qu’à une catastrophe individuelle et collective.

Evelyne Tschirhart nous rappelle en outre qu’autrefois on pouvait s’extirper d’un milieu social défavorisé grâce à l’école. Ce n’est aujourd’hui plus le cas puisque bons et moins bons élèves perdent désormais ensemble (mais en toute égalité) ce qu’ils ont de meilleur.

Manifestement peu soucieuse de l’humain en tant qu’individu l’Education Nationale semble afficher un bonheur éducatif très nord-coréen avec son armée de petits apprenants incultes et ayant perdu toute émulation mais affichés comme épanouis de se trouver tous égaux dans l’échec. Et pour finaliser cette factice réussite des environnements aux réminiscences quasi-raéliennes sont mis en place, recréant la classe idéale avec ses petits « malades » soumis à la musique douce et aux bons sentiments moult fois ressassés jusqu’à complète intégration.

Nos petits élèves malades de l’école sont donc en bien mauvaise posture et ont plus que jamais besoin que cesse ce désastre qui n’a que trop duré. L’Education Nationale doit être entièrement repensée : réapprendre la discipline, l’envie d’apprendre et de progresser, contribuer à l’élévation intellectuelle au niveau individuel et finalement collectif de ces futurs adultes, revenir à ses fondamentaux, tout reprendre à la base et réintroduire de toute urgence la méthode syllabique, fondation nécessaire à tout savoir.

Nos enfants n’ont pas à être les otages d’une éducation idéologique abêtissante et régressive dans laquelle une sortie pédagogique consiste à apprendre à faire des confitures, dans laquelle encore le premier de la classe est vu comme le mouton noir à abattre, le « bouffon », celui qui se fait plus volontiers tabasser par les autres et mépriser par l’enseignant en mal de médiocrité. Il est impérieux, pour ne pas dire vital, de guérir les élèves en assainissant ce lieu d’où l’on sortait jadis en ayant réellement appris quelque chose et en premier lieu… à lire.

http://ripostelaique.com/des-eleves-malades-de-lecole-develyne-tschirart-les-consequences-medicales-de-la-methode-globale-denoncees.html

2 juin 2012

L'escroc Razzy Hammadi, candidat PS, accusé par les Socialistes de Montreuil et de Bagnolet en Colère

Le 1er juin 2012

Le tract ci-dessous (recto / verso) est actuellement adressé aux habitants de Montreuil et de Bagnolet (Seine Saint-Denis). Il émane des Socialistes de Montreuil et de Bagnolet en Colère qui dénoncent avec force la candidature de Razzy Hammadi, candidat PS dans cette circonscription, traitant ce dernier de voleur, d'escroc, de fraudeur.

En janvier dernier était paru sur Riposte Laïque un article mettant en lumière les diverses malhonnêtetés dont s'était rendu coupable le sieur Hammadi (article ci-dessous), notamment son détournement de fonds des caisses du PS pour alimenter son compte personnel et celui de sa... maman !!!

Un tel individu ne peut prétendre représenter les citoyens, il est donc urgent de dénoncer les faits frauduleux graves qu'il a coutume de commettre et de boycotter sa candidature.

Tract_R

 Tract_R

Une affiche est également visible sur les murs de ces villes...

Affichage___Montreuil

Le sulfureux Razzy Hammadi contesté par les militants PS de Seine-St-Denis

 

Razzy Hammadi, ancien président du MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes), ancien membre de l’AEF, une agence dirigée par un conseiller de Nicolas Sarkozy, et bras droit de Benoît Hamon vient d’être parachuté sur la 7e circonscription de Seine-St-Denis en vue des législatives de 2012 au grand dam des militants locaux en raison même de sa nomination jugée irrecevable puisqu’elle n’est basée que sur le principe bien rôdé de la discrimination positive.

Car c’est en raison de ses seules origines qu’il a été promu à ce poste au détriment de tout critère de compétences et au détriment également des représentants locaux pourtant plus légitimes à briguer la place de par leur ancienneté.

Dans un courrier anonyme ils font connaitre les raisons de leur colère et dénoncent le principe de discrimination positive, principe inique puisque nécessairement discriminant. Ces indignés de Montreuil et de Bagnolet condamnent une pratique contraire aux « valeurs d’égalité ». Ils ont d’ailleurs récemment alerté Martine Aubry qui n’a pas daigné leur répondre, sans doute parce qu’ils sont les sans grade et les obscurs du PS et que pour cela ils doivent rester à leur place et s’abstenir de toute récrimination.

Humiliés de n’avoir pas été consultés puisqu’ils ont appris la nouvelle par la presse – ce qu’ils considèrent à juste titre comme du mépris et un manque de savoir-vivre – ces nouveaux indignés, qui se qualifient eux-mêmes de « non blancs de peau » pour insister sur l’aberration du critère, disent regretter une démarche contraire aux principes d’égalité et d’indivisibilité des citoyens et refusent d’émerger du lot commun avec pour seule étiquette « la diversité ». S’estimant stigmatisés par leurs supérieurs du parti, ils se revendiquent comme étant des citoyens français à part entière. Le fait est que le fait de mettre en avant leur couleur de peau ou leurs origines revient à adopter une attitude raciste au nom de l’antiracisme. La discrimination ne peut pas être positive puisque pour valoriser un individu en raison de ses origines il faut bien en dévaloriser un autre en raison également de ses origines !

Ils voient les pratiques des responsables du PS comme « une forme de néo-colonialisme, où une caste distribue des faveurs à des femmes et des hommes de couleur qu’elle juge incapables de s’imposer de la même façon qu’elle ». On ne saurait mieux dire. Ces Français là sont pour le PS, parti de la diversité par excellence, des êtres inférieurs qu’il faut sans cesse aider et survaloriser pour les sortir du caniveau. Autant dire franchement qu’ils sont des incapables. Les membres de la 7e circonscription enfoncent le clou : « des législateurs ou de futurs législateurs s’inscrivent en totale opposition avec les règles et les valeurs de la République qu’ils ont mandat de porter et de faire respecter ».

L’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 est clair « La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents ».

La discrimination positive, sur la couleur de peau ou sur l’origine est tout simplement illégale et contraire aux Droits de l’Homme et du Citoyen.

La nomination de Razzy Hammadi sur le critère « issu de la diversité » est donc injuste, illégale et dangereuse et c’est ce que dénoncent les indignés de Montreuil qui craignent un effet d’annonce valorisant pour le PS au détriment d’une assimilation souhaitable et donc oublieuse de tout quota physique ou originel.

Ils arguent par ailleurs de la légitimité d’un autre candidat répondant aux mêmes critères de le candidat Hammadi mais ayant en plus des compétences et l’aval de la section et des concitoyens, des critères auxquels ne répond pas Razzy Hammadi, lui qui plusieurs fois a été imposé dans différentes sections avec à chaque fois des conséquences fâcheuses : tricheries, magouilles, élections truquées, gestion calamiteuse, illégitimité comme en 2009 dans le Calvados où il avait pris la place de son opposant pourtant élu par les militants, ce qui avait créé une vive polémique suite à laquelle il avait dû retirer sa candidature.

Un an plus tôt c’est à Orly où sur les mêmes critères de diversité il avait été imposé par la direction nationale du PS alors qu’il ne résidait pas dans la ville. Comme par hasard le matin même des élections il a obtenu un bail qui tombait à point. Le maire d’Orly avait déclaré à l’époque « il souhaite peut-être devenir un jour président. Il veut se servir de la ville comme marchepied politique. […] Ces magouilles ne sont pas normales ». Plus tard Hammadi déclarera « Il faut le reconnaître, c’était une erreur, une grosse connerie même que de débarquer dans une ville qui, à deux-trois détails près, au mois de novembre, ressemble à Stalingrad ! ».

Dans le Var l’hebdomadaire Marianne 2 a montré qu’il avait encore des siennes, utilisant l’argent des adhérents pour faire des versements en faveur du Mouvement des Jeunes Socialistes, de son compte personnel ainsi que du compte de… sa maman !

Un membre du conseil fédéral varois, Chahid Dhaouadi règlera d’ailleurs ses comptes avec son ancien compagnon de route « je me réserve le droit de porter mes connaissances sur les affaires toulonnaises et orlysiennes du personnage sur la place publique avec toutes les conséquences qui en découleront pour l’image de notre famille politique notamment. »

En 2009 lors d’un débat télévisé avec Marine Le Pen dans l’émission 7 à Voir, lorsque celle-ci lui demande pourquoi le maire de Paris laisse des centaines de musulmans bloquer les rues il a le culot de répondre avec un arrogant sourire en prenant le présentateur à témoin « jamais le maire de Paris ne laissera une seule barrière dans les rues de Paris, c’est un mensonge », alors que depuis la France entière a pu juger de la réalité de ce fait.

 


 

Arrogant, falsificateur, menteur, sectaire, le candidat Hammadi, qui n’avait pas hésité à apporter son soutien aux insurgés tunisiens alors que son parti soutenait Ben Ali, sème la pagaille partout où il passe et pourtant les hautes instances du PS continuent de le balancer comme une patate chaude que manifestement personne n’a envie de récupérer.

Quel est le but des dirigeants du PS en imposant un individu incompétent et menteur sans même prendre la peine d’avertir par courrier la section où ils le parachutent ? Quid du vote des militants qui ne sont pas démocratiquement consultés ? Quelles sont ces discriminations qui condamnent des citoyens à rester en retrait au prétexte qu’ils sont trop ci ou pas assez ça ? Où est le respect de l’égalité des candidats ? Où sont les critères de compétences qu’on attend des représentants d’un parti digne de ce nom ?

Le PS illustre par ses méthodes son déni de la démocratie, de la justice, de l’égalité. Il impose ses candidats et pousse ses pions dans le plus absolu mépris des lois.

http://www.marianne2.fr/Exclusif-la-lettre-des-militants-PS-qui-denonce-le-parachutage-de-Razzy-Hammadi-qui-repond_a214139.html?preaction=nl&id=2952704&idnl=26579

 http://ripostelaique.com/le-sulfureux-razzy-hammadi-conteste-par-les-militants-ps-de-seine-st-denis.html

18 mars 2012

Comment les télévisions vous manipulent pour vous faire consommer

  

« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective « business », soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (…). Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages.

Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (…). Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances… » (Patrick Le Lay, ancien PDG de TF1 – juillet 2004)

      

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23 février 2012

Qu'est venu faire David Pujadas au QG de Sarkozy ?

LE PLUS. Quel avenir pour le journalisme politique à l'ère de Twitter ? C'est la question que pose un tweet posté cet après-midi, comprenant une photo du présentateur du JT de France 2, sortant du QG présidentiel de Nicolas Sarkozy, situé rue de la Convention à Paris. Rumeurs, fantasmes, suspicion de collusion ? La machine à imagination est en marche.

Par Bruno Roger-Petit Chroniqueur politique

Edité par Henri Rouillier   Auteur parrainé par Benoît Raphaël

Ce tweet est accompagnée d'une petite photographie, mise en ligne par ce même auteur du tweet, un journaliste politique de BFMTV, montrant David Pujadas, présentateur du journal de 20 heures de France 2, dans la rue où se situe à Paris le siège de campagne de Nicolas Sarkozy, au 18 rue de la Convention.

 

 Photo du compte Twitter de @benjaminovitch

Dissipons d'entrée de jeu un premier soupçon : oui, cette photo a bien été prise devant le siège de campagne de Nicolas Sarkozy, une petite enquête via Google Earth en atteste, le reflet des immeubles dans la vitre située derrière David Pujadas identifie bien le lieu de la photographie, de même que la police de caractère qui est la même que sur l'affiche de campagne du candidat.

Des questions qui se posent immédiatement

Cette photographie anodine est extraordinaire dans la mesure où elle représente un formidable déclencheur pour la machine à imaginaire qui réside en chacun de nous. Il suffit de lire le tweet, rédigé ironiquement, et de contempler l'image de David Pujadas, réajustant son manteau, ce qui indique qu'effectivement, il n'était pas que de passage dans la rue, pour qu'aussitôt une foule de questions submerge notre cerveau.

Que faisait là le présentateur du 20 heures de la 2 ? A-t-il vraiment rencontré Nicolas Sarkozy ? Et si oui, pourquoi ? Pour préparer l'entretien du 20 heures de ce mercredi 22 février ? L'émission Des Paroles et des actes de mars prochain ? Peut-on imaginer une autre raison à sa présence en ces lieux ? Une visite de curiosité ? Mais alors pourquoi ne pas être venu avec les autres journalistes lors de l'inauguration officielle de samedi dernier ? On organise des visites de VIP dans ce QG ? Etc...

Cette photo n'est pas sans évoquer une anecdote célèbre de l'année 1981. Cette année là, des journalistes des chaines publiques de l'époque s'étaient amusés à suivre leurs directeurs de l'information et responsables des services politiques de l'époque car ils étaient certains qu'ils se rendaient dans le très giscardien palais de l’Élysée d'alors, pour y recevoir des consignes diverses et variées destinées à éclairer la ligne éditoriale de leurs journaux télévisés. Si l'on transpose cette anecdote au monde d'aujourd'hui où les choses étant d'une certaine façon les mêmes, les journalistes de télévision en vue sont aussi suspects de complaisance que leurs prédécesseurs de 1981. On imagine aisément ce que cela aurait pu donner, il y a trente ans, avec Twitter et des téléphones portables munis d'appareils photos.

Le journalisme en transition

Entendons-nous bien. On ne sait pas les raisons pour lesquelles David Pujadas se trouvait là, et si l'on se place dans une autre perspective, cela n'a pas d'importance. Sans doute avait-il, de son point de vue, toutes les justifications du monde.

Non, ce qui est passionnant, c'est de constater qu'un journaliste incarnant un vieux média, traditionnel, institutionnel et conventionnel, ne peut plus aujourd'hui se rendre au QG de campagne d'un candidat président sortant à l'élection présidentielle, le tout à la veille de rendez-vous télévisuels importants, sans que l'un de ses confrères 2.0, plus en phase avec son temps, n'éprouve le besoin de le faire savoir à l'ensemble de population.

Ce tweet et ce cliché ne sont donc pas anodins. Ils sont le symbole d'un monde journalistique qui meurt et d'un autre qui nait. La transparence, exigeante et contraignante, s'impose désormais partout, en tout et à tout le monde.

Les mammouths du journalisme politique à l'ancienne, dont un présentateur de 20 heures d'une chaîne de service public est l’emblème ultime, ce qu'ils incarnent, ce qu'ils portent, sont en passe de s'éteindre au profit d'un nouveau journalisme politique, plus réactif, donc plus évolutif, donc plus en phase avec son environnement.

Pour rester dans le registre de la métaphore préhistorique (et faire dans le grandiloquent, une fois n'est pas coutume) disons que le journaliste qui a pris cette photo et l'a "tweetée" a accompli un geste aussi important, à l'échelle de l'histoire du journalisme, que le sapiens qui décida d'en finir avec le dernier néandertalien.

Ceci n'est pas un tweet, c'est une évolution.

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/330318-qu-est-venu-faire-david-pujadas-au-qg-de-sarkozy.html

21 février 2012

Le MES, ce monstrueux traité que Sarkozy-Merkel et l’Europe veulent imposer aux pays européens !

La France doit prochainement ratifier le MES (Mécanisme Européen de Stabilité), un traité présenté à l’Assemblée Nationale ce 21 février 2012 concernant 2 projets de loi, le premier ratifiant la décision du Conseil Européen de modification de l’article 136 du TFUE (2e partie du traité de Lisbonne) et le second ratifiant le traité instituant le Mécanisme Européen de Stabilité signé par le Ministre des Finances de la zone euro et en cours de ratification par les différents états membres.

Le texte définitif du traité instituant le MES a été adopté par les représentants des Etats membres de la zone euro le 2 février dernier.

Ce sera au MES de décider des prêts aux différents pays de la zone euro afin de préserver sa stabilité. Or, les pays demandeurs de ces prêts devront accepter toutes les dispositions sur l’austérité budgétaire du TSCG, Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance de l’Union Economique et Monétaire signé par N. Sarkozy et A. Merkel et qui oblige les pays demandeurs à respecter l’équilibre budgétaire.

Le MES (au capital de 700 milliards d’euros dont 142 milliards de contribution de la France et dont même la Grèce devra fournir 19 milliards) est une institution financière internationale comme la BCE et le FMI qui n’aura de comptes à rendre ni au Parlement Européen, ni aux parlements nationaux, ni aux peuples, ni aux nations, ni aux citoyens et ne pourra en aucun cas faire l’objet de poursuites. Avec le MES et le TSCG, les peuples perdront tout pouvoir en matière budgétaire.

De même, les locaux et les archives du MES seront inviolables et ne pourront faire l’objet d’aucune vérification ni enquête, ses biens, fonds et avoirs jouiront également d’une totale immunité judiciaire, cette institution étant exemptée de toute obligation imposée par la législation des états membres.

Cette institution sera dirigée par les différents ministres des finances des état membres appelés « gouverneurs » qui seront habilités à prendre toutes les décisions. Chacun des membres sera tenu au secret professionnel et bénéficiera de l’inviolabilité de ses documents et ne pourra faire l’objet d’aucune poursuite quelle qu’elle soit.

Les états membres s’engagent de « manière irrévocable et inconditionnelle » à fournir leur contribution au capital du MES et s’engagent à verser les fonds demandés dans les 7 jours suivant la réception de la demande, ce qui avec les délais de virement ramène la durée à 4 jours seulement. Le MES peut à tout moment modifier le montant de la contribution sans consultation préalable, un peu comme si le montant de votre crédit passait tout d’un coup de 900 euros à 2 000 euros sans qu’on vous explique ni pourquoi ni comment.

Lorsqu’un état membre sollicite une demande, c’est à la Commission Européenne associée à la BCE et au FMI de décider de sa recevabilité avec une négociation inscrite dans le respect du TSCG.

Désormais les peuples sont cadenassés et emprisonnés par les financiers qui s’en mettent plein les poches sur leur dos et assassinent sans aucun état d’âme les démocraties et les peuples dont ils pillent sans vergogne les biens, la citoyenneté, la souveraineté nationale et le pouvoir.

Pour rappel l’article 3 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 : « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément ».

Pour signer la pétition et exprimer bruyamment votre refus de vous faire dévorer sans pouvoir réagir :

http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=MES2012

 

14 février 2012

Il fait si bon vieillir

Une magnifique plaidoirie d'Alma Adilon Leonardi du lycée Champagnat à Saint-Symphorien-sur-Coise, dans le Rhône. Avec des mots justes, touchants, incroyablement matures et terriblement efficaces, cette jeune fille du haut de ses 16 ans nous donne une incroyable leçon. Nos personnes âgées sont abandonnées dans des mouroirs, délaissées, spoliées de leur dignité et Alma nous en fournit l'éclatant témoignage.

 


Il fait si bon vieillir... par MEMORIALCAEN

 

10 février 2012

Les policiers grecs menacent les représentants de l'UE et du FMI

ATHENES, 10 février (Reuters) - Le principal syndicat de policiers en Grèce menace de réclamer des mandats d'arrêt contre les émissaires de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) imposant la mise en oeuvre de mesures d'austérité fortement impopulaires.

Dans une lettre dont Reuters a eu connaissance vendredi, la Fédération de la police grecque accuse ces représentants des bailleurs de fonds internationaux de la Grèce de "chantage, tentatives de subrepticement abolir ou ronger la démocratie et la souveraineté nationale".

Cette lettre précise que l'une des personnalités visées est Poul Thomsen, le principal représentant du FMI en Grèce. La missive a aussi été adressée à Klaus Masuch, chef de la délégation de la Banque centrale européenne (BCE), et à Servaas Deroos, ancien inspecteur en chef de la Commission européenne en Grèce.

Cette menace est essentiellement symbolique puisque, soulignent des experts des questions juridiques, un mandat d'arrêt doit d'abord être émis par un juge. Cette initiative illustre cependant l'ampleur de la colère de la population grecque face aux baisses de salaires et aux coupes claires dans les budgets de l'Etat exigées par les créanciers internationaux de la Grèce.

"Comme vous poursuivez cette politique destructrice, nous vous prévenons que vous ne pouvez nous contraindre à nous battre contre nos frères. Nous refusons de nous élever face à nos parents, nos frères, nos enfants ou tout citoyen manifestant ou exigeant un changement de politique", souligne le syndicat, qui représente plus de deux tiers des effectifs policiers de la Grèce.

"Nous vous prévenons que, en tant que représentants légaux des policiers grecs, nous allons émettre des mandats d'arrêts pour une série d'infractions légales (...) telles que chantage, tentatives de subrepticement abolir ou ronger la démocratie et la souveraineté nationale."

Un responsable syndical a cependant souligné que cette lettre constituait une manifestation symbolique de solidarité avec la population et que les policiers continueraient de lutter contre les débordements lors des manifestations.

Les policiers sont directement confrontés à la colère populaire qui se manifeste régulièrement à l'occasion de rassemblements devant le parlement à Athènes. Le slogan "Policiers, porcs, assassins" est régulièrement scandé ou inscrit sauvagement sur les murs.

Plusieurs milliers de personnes se sont à nouveau rassemblées vendredi à Athènes pour manifester contre de nouvelles mesures d'austérité entérinées par le gouvernement sous la pression des créanciers internationaux. (Lila Chotzoglou, Bertrand Boucey pour le service français)

 
17 janvier 2012

Linky : le compteur électrique communicant qui étale votre vie privée

Le nouveau compteur électrique Linky d'ERDF a été piraté par un petit groupe de hackers allemands. Ce qu'ils y ont découvert fait un peu froid dans le dos.

Benjamin Gourdet

Le compteur électrique intelligent d'ERDF, baptisé Linky en France et Smart Meter à l'étranger, a dès sa sortie été l'objet de nombreuses critiques. D'une part, son prix exorbitant (entre 120 et 240 euros) pourrait, malgré l'engagement pris par ERDF pour une gratuité, être pris en charge par le consommateur.

Par ailleurs, en décembre 2010, l'Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) déclarait que « Si le compteur Linky, tel qu’il est actuellement conçu, apporte des bénéfices en termes de comptage et de gestion du réseau électrique, voire de diminution du contenu CO2 du kWh électrique, ses bénéfices pour le consommateur en termes de maîtrise de la demande restent encore théoriques. » Ce qui a poussé les élus Europe Ecologie/Les Verts de la Ville de Paris à rejeter la décision ministérielle d'installation de l'appareil. Ce sont surtout ses aptitudes à communiquer des données bien plus personnelles que de simples relevés de consommations électriques qui ont fait le plus de remous.

Et c'est précisément sur ce point délicat que nos « pirates technophiles » allemands entrent en scène. En « hackant » le petit boîtier, ils se rendent compte qu'il est capable d'identifier exactement le type et le nombre d'appareils connectés dans votre foyer. Pratique pour automatiser le paiement de la redevance audiovisuelle ! Pire, il peut même savoir précisément la chaîne de télé que vous êtes en train de regarder ! Sur le modèle testé, fourni par une société allemande, ils s'aperçoivent que toutes les données transitaient entre le compteur et les serveurs de manière non cryptées.

Enfin, poursuivant leurs investigations, ils falsifient les données envoyées à l'aide d'un programme d'émulation, faisant croire que le foyer raccordé au Smart Meter n'avait pas consommé d'électricité pendant deux mois ! Et d'après eux, le piratage de l'appareil est à la portée de tous ou presque, à l'aide de simples outils Windows.

http://www.01net.com/editorial/553084/le-compteur-electrique-communicant-qui-etale-votre-vie-privee/

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