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Refaire le Monde
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29 avril 2010

Assez d’impuissance face aux voyous racistes et aux fascistes islamistes !

RIPOSTE LAIQUE - Numéro 142

 

Notre dernier édito, intitulé "La France est en état de guerre civile, c’est un fait", nous a valu, trois jours durant, des records de lecture sur notre site, et ce en pleine période de vacances scolaires. Un ancien député européen nous a appelés, pour nous dire qu’il avait longtemps hésité à utiliser le mot "guerre civile", et qu’aujourd’hui, il pense avoir eu tort de ne pas l’avoir fait. Un député UMP nous a écrit, pour parler de "ratonnades anti-françaises", terme qui nous paraît adapté à la situation. Nous avons bien sûr reçu notre lot d’insultes habituels, de la part de bobos de gauche qui continuent à pratiquer le déni de réalité.

Comment ne pas être révolté par le cauchemar subi par cette famille perpignanaise, qui doit aujourd’hui quitter cette ville pour pouvoir continuer à vivre en sécurité ? (1)

"Une quinzaine de jeunes se précipitèrent alors dans leur immeuble et commencèrent à défoncer la porte de leur appartement à coups de pieds. Ils les menaçaient de les tuer et de violer la femme. Petit à petit, le mur se fendait et la porte se dégondait.

Réfugiée aux toilettes avec le bébé, la femme a téléphoné à la police. Celle-ci, arrivée rapidement sur les lieux, mit en fuite le groupe de jeunes agglutinés devant l’immeuble. C’était moins une. Quelques secondes après, la porte aurait cédé et le couple y serait passé."

Comment ne pas être révolté par le témoignage de Myriam, la mère de famille, chercheuse, qui, pendant 20 minutes, sur Radio Courtoisie, explique les circonstances tragiques qui ont failli lui coûter la vie, ainsi quà son bébé et son mari. Ecoutez le quotidien qu’elle décrit, dans le centre-ville de Perpignan, et le cauchemar que font subir aux commerçants et aux habitants des bandes qui terrorisent la population. Du Riposte Laïque pur sucre !

http://blip.tv/file/3533914/

Comment qualifier ce caillassage particulièrement révoltant, subi par un retraité de Narbonne, âgé de 67 ans, à qui des jeunes racistes ont dit : "Aujourd’hui c’est ton tour !", en lui jetant, sans raison, des pierres ? Aujourd’hui, cet homme est entre la vie et la mort. (2)

Comment qualifier cette agression de quatre contrôleurs de bus, à Montpellier ? (3) Leur crime : avoir osé demandé leur ticket à des "djeunes".

A Nice, on poursuit un chauffeur de bus avec un sabre, rien de moins ! (4)

Hélas, des anecdotes semblables, racontées dans notre dernier édito, ne sont pas l’exception, elles sont légion. Bien sûr, nous n’englobons pas l’ensemble des populations issues de la diversité dans ces comportements criminels. Nous savons que nombre d’entre eux travaillent durement pour réussir, dans des conditions sociales difficiles, à trouver du travail, à fonder une famille, à la faire vivre, en donnant une bonne éducation aux enfants.

Mais hélas, nous pourrions ajouter des dizaines d’anecdotes semblables, où le scenario est le même : ce sont presque toujours des jeunes de la diversité qui agressent, gratuitement, des personnes qui ont le tort d’avoir un physique de Français de souche. Cela s’appelle des agressions racistes, ou des ratonnades anti-françaises, pour reprendre l’expression du député.

Cela démontre que Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur, puis président de la République, n’a pas réussi, au-delà des mots, à lutter efficacement contre ce cancer, qui gangrène la société française, et est porteur d’une logique de guerre civile.

Notre amie Malika Sorel écrivait, il y a quelques jours, suite à ces multiples agressions : "Pour cela, il ne faut pas hésiter à recourir à de vraies sanctions contre ceux qui sèment la terreur et le chaos, mus par leur haine de la France et leur inaptitude à respecter les normes collectives de la société française. Une sanction est réputée efficace lorsqu’elle dissuade de passer à l’acte. Dans le cas contraire, elle ne l’est pas. Nous pouvons donc en déduire que celles qui sont actuellement appliquées sont totalement inefficaces".

Aujourd’hui, ce que les Français attendent de Nicolas Sarkozy, ce sont des résultats. Nous savons que de nombreux juges sont guidés par une idéologie bobo droit-de-l’hommiste, et sont souvent des obstacles à une politique répressive dissuasive. A cause d’eux, de nombreux jeunes délinquants multirécidivistes sont en liberté. Que Sarkozy règle, c’est le chef de l’Etat !

Nous savons que cette gauche compassionnelle, qui, pour nous, n’est plus la gauche, va crier au racisme, et reprendre son discours victimaire habituel. Elle n’a que l’excuse sociale à la bouche, pour mieux masquer sa lâcheté sur les trop nombreuses agressions que subissent nos concitoyens. Son absence de réaction, voire parfois sa complaisance avec les voyous racistes, est tout simplement criminelle.

Nous invitons cette gauche dégénérée par sa bobocratie à relire ses grands ancêtres :

« Le lumpenproletariat – cette lie d’individus déchus de toutes les classes qui a son quartier général dans les grandes villes – est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est parfaitement vénale et tout à fait importune. Lorsque les ouvriers français portèrent sur les maisons, pendant les révolutions, l’inscription : « Mort aux voleurs ! », et qu’ils en fusillèrent même certains, ce n’était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien avec la conscience qu’il fallait avant tout se débarrasser de cette engeance. Tout chef ouvrier qui emploie cette racaille comme garde ou s’appuie sur elle, démontre par là qu’il n’est qu’un traître. » (Marx/Engels : « La social-démocratie allemande »)

Nous savons que les associations anti-racistes vont ruer dans les brancards. Là encore, écoutons Malika Sorel : "S’il fallait une mesure pour commencer, ce serait de couper les subventions à toutes les associations qui ont largement participé à nourrir haine et ressentiment envers la France et les Français, et qui continuent d’ailleurs à le faire". Le silence des associations anti-racistes sur la montée du racisme anti-Français et anti-blancs est, lui aussi, criminel. C’est tellement plus facile de se farcir Fanny Truchelut ou Eric Zemmour ! Qu’on arrête de dilapider l’argent du contribuable en le donnant à des imposteurs qui passent leur temps, avec l’alibi anti-raciste, à saper les édifices de la République.

Comment les Français peuvent-ils admettre cette impuissance de l’Etat, devant ces petits racistes fascisants, quand dans le même temps, les honnêtes citoyens, au volant de leur voiture, sont rackettés sans vergogne ? Ecoutons le député UMP Philippe Mariani : "Les Français trouvent ces radars insupportables, ils ont l’impression d’être pénalisés quand ils roulent à 53 kilomètres-heure, alors qu’ils assistent dans le même temps à la libération de vrais délinquants. L’administration donne le sentiment de s’acharner sur les citoyens honnêtes".

Pour étayer le propos, l’auteur de ces lignes s’est vu, en deux semaines, verbaliser de 135 euros, avec 3 points en moins, pour ne pas avoir encore attaché sa ceinture, sur une route peu fréquentée, alors qu’il ne roulait que depuis 50 mètres ! 15 jours plus tard, à 23 h 56, sur une 2 voies, il était flashé à 56 km/h, dans les 200 mètres limités à 50 km/h, où il y avait un radar, bien sûr ! 90 euros d’amende, et encore un point de moins ! En quinze jours, l’équivalent de trois jours de salaire d’amende, des mois d’économie envolés, et 4 points de perdus qu’il faudra au minimum 4 années pour récupérer ! Sans avoir fait courir le moindre risque à autrui ! Mais il est ravi, grâce à cet argent, l’Etat pourra payer deux nuits d’hôtel aux clandestins, et les allocations familiales du polygame de Nantes ! Merci à l’ineffable Georges Sarre, l’inventeur du permis à points, en 1990, merci à Sarkozy, l’homme qui nous pourrit la vie avec ses radars, merci à l’UMPS !

Un de mes amis, commissaire de police, me disait, avec un truculent accent toulousain : "Si Sarkozy nous laissait carte blanche, et si, au lieu de faire chier les Français avec nos PV, on utilisait nos moyens pour ramener l’ordre dans les quartiers, en quelques mois, il faudrait importer de nouveaux délinquants ! Car, pour le moment, les chars, c’est nous qui les avons, pas eux !"

Mais à quel Nicolas Sarkozy avons-nous affaire ? Celui qui lit des discours d’Henri Guaino, ou celui qui nous dit que le métissage est obligatoire, et qui nous impose Yazid Sabeg ? Nouveau pas de deux Cyrano-Malika Sorel :

"En ce qui concerne le Président de la République, je dois avouer que je suis très perplexe. Il existe en effet à mes yeux deux Nicolas Sarkozy, celui qui prononce des discours respectueux de l’identité française, et celui qui met en œuvre des politiques qui viennent heurter violemment des marqueurs essentiels de cette identité. En a-t-il conscience ? Je forme le vœu que le premier Nicolas Sarkozy triomphe du deuxième".

Eric Zemmour, sur RTL, posait la vraie question, sur les banlieues. A cause du syndrome Malek Oussekine, jeune Parisien décédé après les manifestations étudiantes de 1986, chaque gouvernement craint un mort. Résultat, on laisse, pendant trois semaines, des émeutiers incendier des écoles, ou bien on interdit aux policiers de répondre, quand on leur tire dessus à balles réelles. Pourra-t-on ramener l’ordre un jour, si ces racistes savent qu’ils ont affaire à des policiers eunuques, qui n’ont pas le droit de se servir de leur arme, même quand on les prend pour cibles ?

Concernant la burqa, le gouvernement a décidé de proposer un texte de loi interdisant le voile intégral sur l’ensemble du territoire français. Nous ne pouvons que nous féliciter de cette mesure, malgré les cris ce cette gauche définitivement perdue pour la cause laïque et féministe, et les propos scandaleux d’un Villepin, qui pense que la burqa est acceptable dans la rue, et doit seulement être interdite dans les services publics. Décidément, celui qui se voudrait une alternative à Sarkozy nous prouve qu’il est pire en s’opposant à une des rares mesures de bon sens prises par le Président de la République. Que le gouvernement tienne bon, et surtout qu’il ne se contente pas de la burqa, mais mette fin aux accommodements raisonnables exigés quotidiennement par les militants musulmans.

Nous ne pouvons terminer cet édito sans évoquer la sympathique niqabée, qui s’est vu dresser une amende de 22 euros pour avoir conduit avec son déguisement. Bien sûr, conférence de presse, protestations indignées de la voilée - complaisamment relayées par les médias, sans que l’on puisse entendre la partie adverse - jusqu’à ce qu’on apprenne que cette jeune femme serait la quatrième épouse d’un intégriste islamiste, père de douze enfants, qui a obtenu la nationalité française en 1999. (5)

Cette affaire pose quand même un ensemble de questions : qui a donné la nationalité française à un tel personnage, et à combien d’autres ? N’est-ce pas l’Elysée qui, sous la pression de la Halde, a sermonné un Préfet qui refusait de donner sa carte d’identité française à une femme voilée ? Peut-on continuer à accepter, sur notre territoire, des fascistes pareils, et de telles tenues vestimentaires ? Que signifie cette tenue de djihadiste ? C’est un message politique clair : je suis en France pour militer ouvertement pour l’islamisation d’un pays qui a été assez stupide pour me donner la nationalité française ! De même qu’on a interdit la croix gammée, il faudra bien un jour se pencher sur l’interdiction de ces tenues, qui, comme le voile et la burqa, sont l’uniforme d’un fascisme politico-religieux qui nous a déclaré la guerre.

Ce gouvernement ne va tout de même pas se laisser intimider par un Tariq Ramadan, qui, à Nantes, suite à l’affaire de la niqabée, ose donner des leçons de valeurs françaises à Hortefeux ! (6)

Hortefeux paraît découvrir, à cette occasion, l’ampleur de la polygamie en France. De qui se moque-t-on ? Depuis des années, les gouvernements laissent faire, et les juges ferment les yeux. Comment peut-on continuer, en France, à tolérer cela, et à donner des allocations familiales à ces familles ? Quand on sait que le célèbre imam Bouziane, polygame, père de seize enfants avec deux femmes, touchait, par femmes interposées, des revenus qui feraient pâlir d’envie nos rmistes ou nos smicards, n’est-il pas temps de revoir ces principes d’allocations ? N’est-il pas temps surtout de revenir sur les conditions d’accès à la nationalité française, donnée, sans condition, à des personnes qui en combattent les valeurs ? N’est-il pas enfin temps, en pleine période de chômage de masse, de mettre fin à l’immigration, tant que les problèmes graves d’intégration que connaît notre pays ne sont pas résolus ? N’est-il pas temps que ceux qui ont entamé un bras de fer avec nos valeurs, et qui le gagnent depuis trente ans, comprennent que les règles vont changer ? N’est-il pas enfin temps que la République montre qu’elle est la plus forte ? N’est-il pas temps d’exclure de France un personnage comme le mari de la niqabée nantaise ?

Les citoyens de ce pays, déjà frappés de plein fouet par la crise et le chômage de masse, en ont marre de voir l’argent de leurs impôts et de leurs cotisations sociales dilapidé, quand on leur raconte qu’il va falloir se serrer la ceinture pour les retraites. Ils ne supportent plus de vivre dans un pays où leur sécurité quotidienne n’est plus assurée par l’Etat.

S’il veut vraiment reconquérir l’opinion, Nicolas Sarkozy et ce gouvernement devront se montrer enfin capables, au-delà des mots, de mener un combat sans concession contre deux types de fascisme : les islamistes, qui sont partis à la conquête de la France et de l’Europe, et les voyous racistes, qui, nourris dans le discours de haine de notre pays, se croient autorisés à cracher sur la France, et à massacrer impunément ses habitants. Mais est-ce vraiment leur conviction, ou ne sont-ils guidés, de manière politicienne, que par l’échéance de 2012, et le besoin de reconquérir un électorat sensible à ces thèmes ?

http://www.ripostelaique.com/

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